La Coalition Avenir Québec(CAQ) voit grand en France-Élaine Duranceau, qui sera leur candidate aux prochaines élections provinciales dans la circonscription de Bertrand qui auront lieu le 3 octobre. Âgée de 47 ans, celle qui réside à l’Estérel depuis sa naissance possède une maîtrise à HEC Montréal en plus d’avoir son titre de comptable professionnel agréé. Elle a travaillé dans ce domaine pendant plus de 20 ans avant de faire le saut il y a huit ans dans l’immobilier commercial. Entretemps, elle a fait partie de différents conseils d’administration dont celui de la Fondation CHU Sainte-Justine, le comité de direction de l’Agence du Revenu du Canada et à titre de présidente pour l’organisme Arts Souterrains. Pour Mme Duranceau, la politique est transition naturelle avec ce qu’elle a entrepris en philanthropie depuis 23 ans. « Avec un peu de recul, quand je regarde mes réalisations professionnelles, c’est mon implication dans la philanthropie dans laquelle j’ai eu le plus de plaisir et qui m’a apporté le plus de satisfaction personnelle », explique la candidate quant à ses motivations. Première expérience Celle qui en sera à une première expérience en politique s’est rangée derrière la CAQ, car elle considère que « c’est un parti pragmatique qui propose des solutions qui sont concrètes » en plus d’apprécier l’équipe économique en vigueur. « LA CAQ c’est le moteur pour faire avancer les choses de manière générale. Moi je suis quelqu’un qui a toujours livré dans la vie dans les mandats que j’ai entrepris », exprime-t-elle. Si elle est élue députée, elle souhaite maximiser les investissements de l’état dans la circonscription. « Trop longtemps, Bertrand a été laissé pour contre[…]Je veux m’assurer qu’on a ce qu’on a droit compte tenu de l’augmentation de la population dans la région », juge la candidate caquiste quant aux routes, aux écoles ou aux hôpitaux. D’autre part, elle souhaite le développement économique, mais que ce soit fait de manière responsable. Rappelons que la députée actuelle de la CAQ, Nadine Girault, n’a pas sollicité un second mandat en raison de problèmes de santé.